Ochlophobie, ou le mal du citoyen

Dans quelques poignées d’heures, nous, Belges, allons voter. Pour des amis, pour des gens en qui nous avons plus ou moins confiance, pour des inconnus dont les idées nous plaisent. Nous allons parfois voter contre quelqu’un qui a déplu. Certains refuseront de voter et choisiront une des faibles alternatives que le système propose. Mais dans la majorité, les gens vont se déplacer pour essayer de faire bouger les choses dans le sens qui leur semble le plus important. Il s’agit ici du niveau de la pyramide politique le plus bas : on touche au quotidien. Lire la suite

Share